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BIENVENUE SUR LE SITE DE L’ADRHI

Depuis 10 ans l’association ADHRI (Association Des Riverains de Haute-Indre), créée suite à la mise en place d’un périmètre d’étude sur la partie Est de Haute-Indre, n’a cessé de veiller à la préservation  d’un cadre de vie agréable pour les riverains. Elle n’a pas failli à sa mission et s’est fortement impliquée pour lutter contre le bétonnage excessif sur ce secteur.

Aujourd’hui, un nouveau projet voit le jour : l’implantation  de 24 logements entre la rue Emmanuel Mocquard et la rue François Poisson,  Comme souhaité lors de la création de l’association, nous participons à l’élaboration de ce nouveau secteur en coopération avec la Mairie. Pour le moment le projet présenté s’intègre à l’environnement mais la mairie précise que des modifications plus ou moins importantes pourraient y être apportées. Nous serons donc vigilants et n’hésiterons pas à rappeler aux pouvoirs publics notre volonté de défendre notre cadre de vie.

Si nous veillons à l’impact visuel des infrastructures proposées, notre mission ne s’arrête pas là. En effet, informée depuis peu sur le projet d’un méthaniseur proche de l’entrée Est de Haute Indre, nous allons tout mettre en oeuvre pour éviter cette implantation. Cette installation n’est pas sans risques pour l’environnement car « les biogaz peuvent conduire à des risques d’incendie, d’explosion, d’intoxication et de pollution » (Info : Ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire). N’y a-t-il pas suffisamment d’entreprises à hauts risques aux alentours de Tougas?

Nous devons toujours rester  vigilants et défendre sans relâche notre territoire afin de laisser aux futures générations une cité agréable à vivre dans un environnement sain.

Pour finir, je remercie Stéphane Le Troidec, Président pendant 10 ans, qui a défendu avec force et conviction l’intérêt des riverains du secteur Est de Haute Indre.

Je succède à  Stéphane et m’engage à lutter, comme lui-même l’a fait, pour défendre notre environnement.

          Je terminerai moi aussi avec une citation :

« Dans un environnement qui change, il n’y a pas de plus grand risque que de rester immobile

Jacques Chirac

Linaïk Huchet, Présidente de l’ADRHI

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10 ans plus tôt, l’accueil du président Stéphane Le Troidec

Soyez les bienvenus sur le site de l’ADRHI

Nous avons créé l’ADRHI ( association des riverains de Haute Indre) pour répondre à une inquiétude commune concernant la mise en place par la mairie en accord avec Nantes Métropole le 06 avril 2012 d’un périmètre d’étude sur la partie Est de Haute Indre. Celui-ci a pour but de maîtriser l’urbanisme sur notre secteur afin d’arrêter la spéculation foncière et le développement de projets difformes ou surdimensionnés par les promoteurs immobiliers.
Jusque-là rien d’inquiétant me direz-vous sauf qu’en y regardant d’un peu plus près, on s’aperçoit que la mairie appuyée par Nantes Métropole peut dans cette démarche, à priori très citoyenne, répondre à des exigences territoriales et politiques qui ne laissent aucune place à la réalité locale et aux préoccupations des riverains impactés par ce périmètre. Outre le bétonnage frénétique de notre quartier dont les proportions, hauteur, largeur, design restent, pour les pouvoirs publics, « très floues ou à définir », nous assistons à la confiscation, même si elle est momentanée, d’un patrimoine foncier qui est pour la plupart d’entre nous le fruit du travail d’une vie entière. Cependant nous comprenons la mairie qui, ayant pris conscience de l’urgence, n’avait pas d’autre choix que cette confiscation pour gagner du temps face à l’appétit des promoteurs.

Nous voulons avec l’ADRHI avoir un regard et une voix légitimes sur l’évolution de notre commune, servir de tribune pour toutes les personnes désireuses d’exprimer, un ressentiment, une incompréhension sur une terminologie administrative qui peut parfois dérouter. Nous voulons également par le biais d’un dialogue avec la mairie, apporter des éléments de réflexion sur ces projets urbains, la promiscuité, l’impact visuel, les infrastructures, l’environnement, le bruit etc. Nous ne voulons plus être de simples spectateurs mais devenir des acteurs qui participent à l’élaboration de notre cadre de vie, qui constitue ni plus ni moins que l’écrin de notre quotidien.
Nous souhaitons transmettre aux pouvoirs publics, notre volonté de défendre notre cadre de vie, notre environnement, et le patrimoine architectural et urbain des îles des bords de Loire et les assurer de notre vigilance quant au devenir de notre quartier.

Je terminerai avec une citation de Jean-Paul Sartre :

« La confiance se gagne en gouttes et se perd en litres »

Stéphane Le Troidec, Président de l’ADRHI