Assemblée générale

Notre 6e assemblée générale se tiendra
Jeudi 8 novembre 2018 à 18 h 30
salle Théo-Pageot, 18 rue Emmanuel Mocquard à Haute Indre

Après les habituels rapports sur la vie de notre association, nous ferons le point sur les projets d’aménagement en cours secteur est de Haute Indre,  l’urbanisation du quartier en général et les problèmes de circulation

Vous êtes cordialement invités à y participer.
Entrée libre et gratuite

 

Réunion d’information sur le périmètre d’étude organisée par l’ADRHI pour les habitants du secteur

5 juillet 2013 : devant une centaine de personnes de Haute Indre, la mairie ré explique le périmètre d’étude

« L’aménagement du secteur Est de Haute Indre ? Rien n’est encore décidé », c’est du moins ce que l’on a tenté de nous faire croire lors de la réunion organisée par l’ADRHI vendredi dernier 5 juillet, salle Théo-Pageot, avec le maire et le directeur des services techniques, tous deux semble-t-il fort ennuyés par une telle affluence d’auditeurs…
Alors, d’emblée, Stéphane Le Troidec, président de l’ADRHI, a posé les questions qui taraudent tant de gens, habitants du secteur. Trois questions essentiellement :

1 – Qu’y a-t-il de prévu pour réguler le stationnement ?

2 – Quelles seront les hauteurs des habitations ?

3 – Risquons-nous ou pas d’être expropriés ?

Les stationnements

« Les places de stationnement devront être intégrées dans la propriété des nouvelles maisons » nous assure-t-on. Très bien, mais qu’en sera-t-il des « petits » collectifs ? Car le problème est le nombre de places de stationnement prévu au nouveau PLU par rapport à la surface habitable, celui-ci prévoyant actuellement « un stationnement par tranche d’habitation d’une surface de 60 m² ». Mais, à notre avis, ce problème pourrait être résolu par la diminution de la surface habitable nécessitant un parking, ce que le président de l’ADRHI n’a pas manqué de revendiquer :
 
« Nous revendiquons la diminution de 60 m² à 40 m² de la tranche habitable nécessitant une place de stationnement ».
Ce qui revient à dire : pour un T1 : une place de parking ; pour un T2 : deux places de parking ; pour un T3 : trois places ; etc…

Irréalisable et impossible a souligné Jean Luc Le Drenn qui n’a pas manqué de nous rappeler que le périmètre d’étude avait été créé « pour maîtriser le foncier et éviter que nos terrains ne soient vendus à des constructeurs ». On se demande bien alors pourquoi tout le monde s’inquiète et pourquoi tant de gens avaient fait le déplacement ce soir-là ?
Quant au stockage des véhicules en entrée de ville, « Où seront les parkings ? Sur le port, l’étier ou dans le jardin public ? » a demandé quelqu’un. Bien ennuyée la mairie qui a alors parlé de stationnements en cœur d’îlot ! Curieux, alors que celle-ci nous a déjà dit qu’elle n’allait pas préempter de maisons pour y construire des parkings …

 

Les hauteurs des futures habitations

« Nous sommes inquiets au niveau des hauteurs » a rappelé Stéphane qui là encore a posé une revendication au nom de l’ADRHI :
« Nous vous demandons de limiter le bâtit à R+1+Attique dans ce secteur » (c’est-à-dire : rez-de-chaussée + 1 étage + combles aménagés, soit 11 mètres)
 
Mais là encore, « rien n’est décidé à ce jour » a assuré Elyan Tareyre, tout de même bien ennuyé par cette levée de boucliers. D’autant qu’à partir de ce moment là, les questions du public ont fusé en vrac :

Sur les 50 % de logements sociaux dont il est question dans le projet. « On l’a écrit mais ce peut-être moins » a répondu Jean Luc Le Drenn.

– Sur les au moins 150 logements à construire dans le secteur. Ce serait « uniquement dans le cas où tout le monde vendrait » nous a-t-on dit et « ce sera un maximum ». Alors, pourquoi est-il écrit « au moins » ?

– Sur les hauteurs des constructions auxquelles nous devons nous attendre de part et d’autre de la rue Mocquard ? Alors là, dur à dire car la mairie elle-même ne semble pas savoir (ou pratique la langue de bois) ! « A l’intérieur du périmètre, ce sera R + 1 + attique et en premier rideau, R + 2 + attique ». Oui, mais ça fait combien en terme de mètres ?

Quant au fameux schéma du secteur concerné présenté ce soir-là (ainsi que lors de la précédente réunion publique), avec ses chemins tracés au hasard dans les jardins et ses maisons coupées en deux, « ce n’est qu’un document de travail, un schéma de principe qui est évolutif et qui ne reflète peut-être pas le futur ». Peut-être, mais alors pourquoi ne pas y avoir réfléchi plus tôt.

 

Alors, finalement, rien ne serait fixé ?
Et qu’en sera-t-il, dans deux ou trois ans, de ces maisons préemptées quant on voit l’état d’abandon dans lequel elles, et leurs terrains, sont laissées actuellement. ?
Puis on a abordé la troisième question, celle sur les expropriations qui inquiètent tant de gens.

Les expropriations

Quant peut-on exproprier quelqu’un ?
« Juste dans les cas d’utilité publique rassure la mairie, un immeuble ou un logement n’étant pas d’utilité publique ».

Nous voulons bien le croire, mais nous avions demandé au maire de s’engager à ce sujet, ce qu’il nous avait promis de faire suite à la réunion publique sur le plu. Jean Luc Le Drenn nous avait en effet promis de faire signer au conseil municipal du 26 juin une motion contre l’expropriation à Haute Indre. Nous avons constaté que rien n’a été fait, et nous n’avons pas manqué de lui rappeler. Mais ce n’est que parti remise puisqu’une nouvelle promesse nous a été faite pour le prochain conseil municipal du 25 septembre.

« Ce sera une délibération ou une motion qui sera transmise à la préfecture précisant qu’il n’y aura aucune expropriation ».

Ce sera toujours ça. Sauf que Jean Luc Le Drenn nous a bien précisé que cela n’engage que lui et encore, jusqu’aux prochaines élections …

Quoi qu’il en soit, le PLU sera validé au prochain conseil communautaire, soit vers la mi-octobre. Mais, selon le maire, « il ne se passera rien avant deux ou trois ans ». Alors, à nous de rester vigilants.

L’enquête publique sur la révision du PLU se termine mardi 9 juillet au soir ; si vous n’avez pas consigné vos commentaires sur le cahier d’enquête, il est encore temps de le faire.

Lettre de l’ADRHI remise au commissaire enquêteur le 29 juin 2013

Dans le cadre de l’enquête publique l’ADRHI encourage fortement les initiatives individuelles pour aller apporter ses commentaires au commissaire enquêteur. Le nombre sera le plus fort de nos arguments. Cependant, l’ADRHI étant un groupe représentatif nous nous devions d’apporter au commissaire enquêteur nos commentaires en tant qu’association. Vous trouverez ci-dessous le contenu de cette lettre. N’oubliez pas l’enquête publique ne se terminera que le 9 juillet, pensez à vous manifester!!

Indre, le 29 juin 2013
A l’attention de Monsieur le Commissaire
enquêteur du Pôle Loire Chézine

Dans le cadre de l’enquête publique sur la modification du Plan local d’urbanisme, l’Association des riverains de Haute Indre (ADRHI), représentant une quarantaine d’Indrais adhérents et de nombreux sympathisants, vous prie de bien vouloir prendre note de ses réflexions sur le projet à l’étude.
Nous, représentants de l’ADRHI, sommes particulièrement frappés par l’orientation  d’aménagement prévue sur le quartier est de Haute Indre. Déjà touché par un périmètre d’étude qui permet à la collectivité d’opposer un sursis à statuer à toute demande de  permis de construire (qu’en est-il des libertés individuelles ?), selon le nouveau PLU, ce  quartier devrait en plus se voir doté à terme de plus de 150 logements, du petit collectif au logement individuel, nous dit-on ! Effarant, estiment les anciens habitants de Haute Indre qui ont connu le village d’autrefois, tout comme les nouveaux arrivants venus à Indre pour sa tranquillité, ses espaces de jardins et, pour certains, sa vue sur la Loire. Un projet inimaginable. Pourtant, par la grâce de nos gouvernants, sauf s’il est finalement tenu compte du souhait des résidents, ce village avec ses petites maisons et ses jardins, perdra bientôt tout son charme, envahi qu’il sera pas des bâtiments et leurs corollaires, les voitures. On nous dit pourtant que « la notion d’impact des évolutions du PLU sur l’environnement s’apprécie au regard des risques pour la santé humaine ou pour l’environnement ». La santé humaine ? Mais, en plus des nuisances dues à la présence d’immeubles de trois étages, qui s’interroge sur l’invasion par les voitures ? 150 logements devraient générer de 300 à 400 (pour être modeste) véhicules supplémentaires dans le quartier. Quant on connaît les rues étroites de Haute Indre avec leurs trottoirs inclinés la plupart du temps, dotés, soit de poteaux électriques, soit de poubelles, si ce n’est déjà de véhicules, ou passeront donc les enfants, les mamans et leurs poussettes et parfois les handicapés, quand de nouveaux véhicules envahiront les trottoirs ? Combien faudra-t-il d’accidents avant que l’on s’en inquiète ? On nous parle de stationnements en entrée de ville ? Baliverne quand certains se garent déjà sur les trottoirs au plus près de leur domicile. L’obligation d’une place par logement de moins de 60 m² a été supprimée dans le PLU révisé, il est urgent de la rétablir. « Notre village n’a pas été conçu pour être surdéveloppé ni sur urbanisé car les infrastructures ne suivront pas » remarque l’un de nos adhérents. C’est bien vrai, mais qu’en pensent nos gouvernants ? Il faut construire, nous ne sommes par contre, mais seulement des logements R + 1, pour ne pas détruire la qualité de la vie à Haute Indre. Voici notre principal souhait. Un autre étant d’être consultés sur les futurs projets de construction.

Les représentants de l’ADRHI

Enquête publique sur le projet de modification du Plan Local d’Urbanisme d’Indre: le projet est en ligne

Juste quelques mots pour vous rappeler que si le projet de modification du PLU est consultable en Mairie, vous pouviez retrouver des informations sur le site de Nantes Métropole mais les informations ne sont plus en ligne. Vous pouvez télécharger le projet de modification en cliquant ici.

Bonne lecture

L’ADRHI

Compte rendu de la réunion publique sur le PLU du 16 avril 2013

LE PROJET DE MODIFICATION DU PLAN LOCAL D’URBANISME DEBATTU EN REUNION PUBLIQUE MARDI 16 AVRIL 2013

Il y avait beaucoup de monde à la réunion publique organisée ce mardi 16 avril au complexe Tabarly conjointement par la mairie et Nantes Métropole. Pratiquement tous les membres du bureau de l’ADRHI étaient présents, la photo illustrant l’article de Ouest-France sur la réunion représente d’ailleurs notre Webmaster posant une question au micro*. Par contre, il nous a semblé que bien peu de Haute Indrais avaient fait le déplacement à Basse Indre. Pourtant il a beaucoup été question de Haute Indre

 Nos terrains de fonds parcelles intéressent les promoteurs, c’est certain. Ce serait la raison pour laquelle la mairie a instauré le périmètre d’étude. Et si pour le moment il ne se passe pas grand-chose – si ce n’est que tout ce qui se vend dans le secteur Est de Haute Indre est préempté par la mairie – des études sont en cours. Car la mairie souhaite « conserver l’aspect village et préserver le patrimoine tout en accompagnant le renouvellement urbain ». Et on nous promet de nous faire des propositions qui «tout en respectant les maisons qui existent, veilleront aux problèmes d’ensoleillement » ainsi qu’aux problèmes de stationnement. Encore faudra-t-il que, les uns ou les autres, nous vendions, car, rassurez-vous, « il n’y aura pas d’acquisition forcée de maisons » affirme la mairie. D’ailleurs, au prochain conseil municipal du 26 juin, elle mettra au vote/votera «  devrait voter « une motion contre l’expropriation à Haute Indre », l’ADRHI veillera à ce que cette motion soit proposée et à son devenir.

 Alors, qu’y a-t-il de prévu à Haute Indre?

Pour le moment, pas grand-chose semble-t-il, même si la diapositive présentée avait de quoi inquiéter avec ses hachures sur tout le secteur et ses chemins piétonniers tracés au hasard au milieu des jardins. « Mais ce n’est rien qu’une idée de cheminement, rien n’est décidé » rassure la mairie. Tout de même !

Il a aussi été question de « 150 logements » à construire à l’est de Haute Indre, d’un « programme dense le long des voies, avec des petits ensembles à un étage à l’intérieur ». Mais là encore, « pas de quoi s’inquiéter pour le moment » car, « cela ne se fera qu’au fur et à mesure des opportunités ».

 

Et comment va-t-on limiter la place de la voiture qui devient bien envahissante dans nos ruelles aux trottoirs si étroits ?

 Alors là, difficile à dire. La mairie évoque un « stockage dans un coin ou en sous sol », ce n’est pas encore défini. Le sous sol ? Un coup de pioche dans nos jardins et on touche la pierre. Bref, ce problème là est resté sans réponse. Sachez cependant que le PLU prévoit une place de stationnement pour 60 m² de logement et un parking visiteur pour 300 m² d’habitation. Les maisons anciennes, généralement sans garage, n’étant bien sûr pas concernées et les places de stationnement étant déjà rares actuellement, on peut prévoir le pire. Notons que l’obligation de 50 % de place couverte pour stationnement devrait être supprimée**.

Mais, comme preuve de sa bonne foi, Jean Luc Le Drenn est prêt à venir en personne, à Haute Indre, nous expliquer de quoi il retourne. Très bonne idée, encore faudrait-il que nous ayons matière à discuter, ce qui ne semble pas le cas pour le moment.

Et la suite ?

Une enquête publique sur le PLU est prévue du 6 juin au 9 juillet 2013 assortie de permanences en mairie (les 17 et 29 juin) et au Pôle Loire-chézine (les 6 juin et 9 juillet)

Nos élus auront alors un mois pour rendre leur rapport, soit avant le 9 août 2013, puis le PLU sera approuvé par Nantes Métropole le 4 octobre 2013. Après cela, il n’y aura plus à y revenir. Alors, inutile de dire combien il est important que vous alliez vous exprimer à l’occasion de cette enquête publique ; de cette démarche, dépendra probablement l’avenir du village de Haute Indre.

* lien vers l’article de Ouest-France: http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Patrimoine-et-logements-sociaux-enjeux-d-urbanisme-_44074-avd-20130418-64987076_actuLocale.Htm

 ** Quelques explications: pour 60 m² de logement neuf il faut 1 place de parking, de 61 à 120 m² 2 places. Jusqu’à présent l’une de ces deux places devait couverte, ce qui ne sera plus le cas.

Invitation réunion publique sur le PLU

 

 

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CHERS AMIS ADHERENTS ET SYMPATHISANTS

Vous qui êtes sensibilisé au devenir de notre quartier de Haute Indre

Nous vous invitons à participer à la réunion publique d’information sur le projet de modification du Plan Local d’Urbanisme, qui sera organisée par la municipalité et Nantes Métropole.

Mardi 16 avril 2013 à 18 h 30

Salle Eric Tabarly, rue de l’Allier

En présence de Jean-Luc Le Drenn, maire d’Indre

Et de Pascal Pras, vice-président de Nantes Métropole.

ADRHI, 8 rue Emmanuel Mocquard – 44610 INDRE

Adresse mail : contact@ADRHIndre.fr   Site internet : www.adrhindre.fr

Périmètre d’étude Haute-Indre EST-Réunion publique du 29 05 2012

Réunion d’information du 29/05/2012 en présence du maire de Indre et des personnes de Nantes Métropole

Propos recueillis par l’ADRHI

Il y avait à peu près 50 à 60 personnes présentes.

Le périmètre d’étude de Haute Indre Est a été voté par la collectivité à la cité des Congrès de Nantes le 06/04/12 et se terminera en juin 2013.

Pourquoi ce périmètre d’étude ? Contexte général : le PLU a adopté la loi de 20 logements par an dont 7 sociaux, suite loi SRU (Solidarité et développement Urbain)

La mairie doit actuellement payer une amende tous les ans d’à peu près 57 000 euros. En 2011, il a été payé 47800 euros. Nantes métropole reverse la moitié pour permettre à la mairie de faire de l’acquisition de foncier.

Le 23 avril 2012, la mairie a reçu un courrier de « menace » du préfet, comme quoi s’il n’y avait pas d’effort de fait par Indre, le droit de préemption lui serait donné.

A Indre, 1743 résidences dont 12.6% de sociaux.

Il y a peu d’espace foncier, 75% de zone inondable.

Nantes Métropole ne veut pas d’étalement urbain, tout doit se concentrer autour de Nantes. Il faut donc adapter la reconstruction de la ville sur la ville.

Le périmètre d’étude a trois objectifs :

–       Maîtriser l’urbanisation d’un secteur

–       Se donner le temps pour définir un projet

–       Eviter la spéculation foncière

Le maire s’engage à ne pas augmenter les hauteurs de logements de 30%.

Répartition de la densité de logements sur la commune :

–       Haute Indre : 40/ha

–       Basse Indre : 80/ha

L’orientation d’aménagement du PLU permet de définir un cadre de projet :

–       Elle complète le règlement du PLU

–       Elle détermine le programme à réaliser (nombre et type de logements, principes d’accès et de circulation, forme et organisation des constructions…)

–       Elle permet d’autoriser tout projet de construction compatible avec les principes définis.

Un projet compatible avec l’orientation d’aménagement sera porté par la commune.

A la fin de cette étude, ce périmètre sera supprimé.

Divers exemples d’aménagements de quartiers nous ont été montrés ( Bossis à Couëron…)

Rien n’a été encore travaillé sur l’orientation d’aménagement.

A Haute Indre, rue Jules BODIGUEl, un particulier a vendu sa maison à un promoteur, il va être construit 20 à 30 logements.

Des personnes se sont exprimées comme quoi le droit de préemption était de « l’abus de pouvoir. »

Débat

On est tous concernés par ces terrains, il n’y a pas d’infos

Certains n’ont pas peur des promoteurs et préfèrent revendre plus cher, même si après il est construit un grand collectif

Doit on avoir peur de la préemption (prix), NON nous dit la mairie, le prix est fixé en fonction du marché

Il peut y avoir un risque de surévaluation des autres terrains à haute Indre, hors Périmètre d’étude.

Création de l’adrhi pour limiter la hauteur des aménagements

Plus on fait de logements individuels, plus le pourcentage de logements sociaux à faire augmente

Haute Indre pourra-t-il  accueillir autant de monde (stationnement, écoles, commerces…) ?

Les gens ne sont pas dépossédés, ils sont limités.

Que va-t-on faire des logements inoccupés pendant 2 ans ?

Il a 2 types de personnes : ceux qui habitent là depuis des dizaines d’années et les nouveaux arrivés, au final un seul but, défendre le bien être du quartier

Ce que dit la mairie :

La mairie ne peut pas tout préempter, car ce sont les fonds publics qui paient, les promoteurs seront toujours là pour démarcher directement auprès des gens.

Toute demande de permis de construire en 1er rideau est suspendue pendant 2 ans, pour voir s’il rentre en accord avec le périmètre d’étude. Sursis à statuer…

Haute Indre Est : énormément de fonds de parcelle.

La 3CI sert déjà à discuter du projet, tout le monde peut participer

A la Soferti, ce seront des bâtiments plus élevés, il ne peut pas y avoir de RDC en habitation, à cause de la pollution.

Il manque 130 logements sociaux

Négociation avec Mr Ayral pour le terrain du 12 rue Mocquard. Finalisation de l’achat en juin, acquisition pour le compte de la commune

Si il y a héritage, il n’y a pas de préemption directe

Seule la collectivité peut créer divers passages entre rues Tahet et Mocquard

Si les gens ne vendent pas, la mairie négociera directement auprès des propriétaires qui les intéressent au cas par cas.