Cambriolages : retrouver vos bijoux

Vous le savez sans doute, par le bouche à oreilles ou parce que vous en avez été victime vous-même, les cambriolages sont fréquents dans notre commune. Nous ne pouvons que vous recommander d’être très prudents et de bien fermer portes et fenêtres.

Des bijoux ont été retrouvés par la gendarmerie de Loire-Atlantique qui en a mis des photographies en ligne sur Facebook.

Cliquez sur ce lien « bijoux volés » et peut être aurez vous la chance d’y retrouver votre bien.

Des vélos ont également été retrouvés, « vélos volés »

Soirée solidaire pour le Mali

Concert MalinaLe geste solidaire du début d’année.

Samedi 23 janvier 2016, à 20 h 30, salle des 3 îles,

nos amis de l’association La Malina et la troupe chorale Mélodie en Retz organisent une soirée au profit du Mali.

(Plein tarif : 10 € ; enfants jusqu’à 12 ans : 5 €)

Renseignements et réservation au 06 32 58 42 27 et au 06 19 66 37 52

Voeux

carte voeux 2016EN CE DEBUT D’ANNEE 2016, FAISONS TOUS CE VOEU FOU :

QUE NOTRE QUARTIER GARDE SON ESPRIT VILLAGE,

ET CONSACRONS CETTE ANNEE A LE RENDRE REALISABLE.

L’ASSOCIATION DES RIVERAINS DE HAUTE INDRE PRESENTE A TOUS SES MEILLEURS VOEUX

Aménagement de Haute Indre est, la mairie va lancer une première étude

Mardi 29 septembre, l’Association Des Riverains de Haute Indre et l’Amicale laïque de Haute Indre étaient invitées par le maire à venir discuter le projet d’aménagement de l’est de Haute Indre. Une quinzaine de personnes de l’ADRHI et de l’ALHI face à Serge David, accompagné de ses adjoints Philippe Robin, adjoint à l’urbanisme, et Sylvie Legrand et de sa directrice des services, Catherine Bainvel. Une discussion plus ou moins détendue puisque les riverains ont quelques inquiétudes quant à l’avenir du quartier. Mais cette réunion ne nous a pas vraiment appris grand-chose.

De quels aménagements avons-nous parlé ?

En fait il s’agissait d’abord essentiellement du devenir de la salle des sports de Haute Indre, un problème qu’il va falloir régler entre l’amicale laïque et la mairie, la salle ayant été construite (et entretenue) par la municipalité sur des terrains privés.

Pour le reste, c’étaient bien sûr les 150 logements dont la construction est envisagée dans le périmètre d’étude. Rien n’a changé de ce côté-là si ce n’est que l’on ne parle plus d’aménagement global, mais « par tranche » ce qui a amené certains à évoquer les nuisances de bruit que subiront bientôt – et pendant longtemps – les Haute-Indrais obligés de vivre dans un quartier en perpétuel chantier. Serge David évoque la présence d’un ou plusieurs aménageurs ou d’un ou plusieurs promoteurs. On se pose alors la question sur ces investisseurs qui accepteraient de s’inscrire dans une planification par tranche des travaux. Ne seront-ils pas plutôt motivés pour des raisons financières d’entreprendre les travaux dès que le permis sera accepté ? Le quartier ne sera plus alors qu’un vaste chantier

Une nouveauté cependant, ce n’est plus Nantes Métropole qui prend les choses en mains mais la mairie. Car, si tout semblait figé jusqu’à maintenant, cela ne va pas durer. Explication : « l’opération d’aménagement a bien été actée par Nantes Métropole mais les fonds sont gelés pour le moment ». Ce qui recule d’autant le début des aménagements et qui n’arrange pas les affaires de la municipalité obligée de rembourser à NM les préemptions, ce qu’elle trouve trop lourd. Elle a donc décidé de prendre les choses en mains elle-même en rédigeant, à ses frais, d’ici la fin de l’année, un marché public (uniquement sur les prix et les critères). C’est aussi elle qui nommera le cabinet d’architecte qui sera chargé de proposer des projets. Une fois les projets acceptés et les terrains préemptés rétrocédés aux aménageurs, ce sera le début des travaux. Certains soulignent qu’il faudrait peut-être d’abord réfléchir à ce qu’on veut faire de ce quartier (devenir urbain, social, sociétal, forte densification, sauvegarde d’une qualité de vie, etc.) avant de faire des propositions d’aménagement. On rappelle que le PLUM en poche (par trois fois) et que le programme électoral de la municipalité (en premier point) insistent sur la recherche d’un cadre de vie pour sauvegarder l’identité de la commune

Bien sûr, la mairie organisera des réunions de concertation et elle nous a promis que nous serions invités à participer à l’élaboration du projet ; nous y comptons bien…

Quant à European Homes (voir notre précédent article sur ce sujet), la mairie a été très claire: « nous avons demandé à cette Société de cesser sa prospection ». En d’autre terme, il n’y a rien à attendre de ce côté-là.

PS : On note ainsi que nos élus anticipent sur un projet contre la volonté des résidents qui souhaitent préserver leurs jardins et potagers ou, au pire, cohabiter avec d’autres maisons, à l’échelle du quartier.

Orientation d’aménagement Haute-Indre EST: European Homes, loup dans la bergerie ou un ami qui nous veut du bien?

Bonjour,
Comme de nombreux riverains habitant aux abords du quartier délimité par les rues rabillard, Mocquard, Poisson et Tahet, et la place Jean Saillant, vous avez peut-être reçu un courrier de la société European Homes. Cette société se dit spécialisée « dans l’aménagement urbain en grandes agglomérations et la construction de logements ». C’est un promoteur-constructeur. Dans son courrier, pour ceux qui ne l’auraient pas reçu, European Homes explique souhaiter rencontrer les riverains possédant un terrain dans la «zone de renouvellement urbain dans le cadre d’une orientation d’aménagement » (OA) prévue au Plan Local d’Urbanisme afin de connaitre les intentions de chacun sur le devenir de ces parcelles (vous pouvez consulter d’anciens articles à ce sujet sur le site:ici,  et ).

Pour rappel l’OA a été initiée par l’équipe municipale de Mr Le Drenn afin de contrôler le foncier sur cette zone, c’est-à-dire éviter la spéculation et les projets sauvages de promoteurs mais aussi pouvoir imposer certaines contraintes urbanistiques et sociales sur d’hypothétiques projets immobiliers. Plusieurs milliers de mètres carrés ont déjà été préemptés par l’ancienne mairie, mais ce mouvement se poursuit avec l’équipe de Mr David. L’actuelle mairie se range derrière le caractère inéluctable d’un tel projet, vu qu’à priori un bien préempté dans un but ne peut être vendu dans un autre à moins d’un vice de forme.

L’ADRHI est née suite à la mise en place de la zone. Sans vouloir nous substituer à l’action de chacun nous souhaitons collecter vos avis sur le devenir du quartier, tant d’un point vue individuel que collectif.
Alors blocage du projet ? C’est possible car sans vente pas de préemption, mais tout le monde ne refusera pas de vendre et certains terrains sont plus stratégiques que d’autres.
Accompagnement du projet ? L’ADRHI est constituée de riverains qui connaissent d’autres riverains et peut aider à l’interface promoteur/mairie versus propriétaires, mais nous ne pouvons garantir de contrepartie équitable, d’autant que nous devons avouer que nous n’avons eu connaissance de l’action d’European Homes que via le bouche à oreille et non par la mairie. Cependant, devons-nous attendre sur le bas-côté que l’on décide pour nous de quoi sera fait notre environnement prochainement, sans réagir ni tenter de peser sur les décisions ? Ce n’est pas notre avis ! Dans un premier temps nous allons tout faire pour éclaircir la situation, interpeler la mairie et contacter European Homes et vous tiendrons informer de la manière la plus objective qui soit, via notre site internet mais aussi via des flyers. Dans le même temps nous attendons vos avis, retours, questions et doléances car nous pensons qu’une action concertée avec les riverains aura plus de poids pour éviter certains désagréments, doux euphémisme. La multiplication des véhicules à stationner dans un environnement déjà saturé par exemple. Ce qui n’est pas antinomique aux essais moteurs et sauvages de véhicules sur les parkings créés. On peut encore parler de la dénaturation d’un village et de son histoire sous la pression immobilière de Nantes sa grande et bienveillante voisine.
Contactez nous !!
Par mail : contact@ADRHIndre.fr
Par courrier : ADRHI 10, rue Emmanuel Mocquard, 44610 Indre.

Feux de la Saint Jean à Haute Indre

feux de la St Jean ALHI

 

 

Vendredi 19 juin, à 20 h, sur le port de Haute Indre, nos voisins de l’Amicale laïque de Haute Indre vous invitent à fêter avec eux la traditionnelle fête de la Saint Jean. Avec la participation de la Fanfare de rues d’Indre, du Cercle Celtique d’Indre, du groupe Tas d’B’Retz. Feu d’artifice et feux de la St Jean clôtureront la soirée. Restauration sur place. Entrée libre et gratuite.

 

UN IMMEUBLE DE 20 LOGEMENTS RUE DENIS RIVIERE

Mardi 19 mai l’équipe de l’ADRHI, pratiquement au grand complet, le maire, l’adjoint à l’urbanisme et des voisins, – pas vraiment emballés –  assistaient à la présentation, par le Groupe Edouard Denis, du futur immeuble de la rue Denis Rivière. Vingt logements sur trois étages au centre, et deux sur les côtés, c’est moins que prévu, mais tout de même !

Le groupe Edouard Denis nous l’a pourtant assuré, nous avons échappé à bien pire car au lieu de ces 20 logements nous aurions pu en avoir 27 paraît-il ! Peut-être, mais cela n’a pas semblé satisfaire les voisins qui, eux, vont perdre leur vue sur la Loire et leur tranquillité et gagner en contrepartie une vue imprenable sur le mastodonte. Car même avec des toitures végétalisées sur les parkings couverts et de savantes découpes avec balcons dans les façades, il sera tout de même bien grand cet immeuble et surdimensionné au milieu de toutes ces maisons basses. Même si les photographies présentées par le constructeur, judicieusement prises, tentaient de prouver le contraire.

« Et que ferons-nous des véhicules » nous sommes-nous tous inquiétés avec un bel ensemble ? Pas de problème assure le constructeur tout fier d’annoncer la création de trois stationnements tampons (pour les visiteurs) en sus des vingt prévus dans la construction. Mais là où le bât blesse (déjà) c’est que cet immeuble comportera cinq logements sociaux, dédiés à la location, dont les parkings seront dissociés, selon les informations données par un représentant d’Habitat 44. Nous sommes tous passés par des logements sociaux un jour ou l’autre et chacun sait que le parking y était le cadet de nos soucis. D’autant plus inquiétant quand on sait la taille de ces logements sociaux, (2 T4 – 2 T2 – 1 T3), soit … combien ? 7 ? 9 véhicules ? plus ? Qui, en plus des autres, pourraient bien rester dans la rue. Mais où, puisque les rues de Haute Indre sont déjà saturées de voitures le soir ?  C’est un gros problème reconnaît le maire lui-même, mais il faut bien appliquer la loi SRU.

« Avec trois immeubles dans le quartier, que devient l’esprit village ? » On va essayer de le préserver au maximum assure la mairie. Mais là encore, la loi SRU …

Début de la construction fin d’année 2015 – achèvement fin d’année 2016

GRAND DEBAT SUR LA LOIRE – UN CAHIER D’ACTEURS INDRE/SAINT HERBLAIN

Lundi 11 mai 2015, Saint Herblain organisait dans sa salle du conseil municipal une rencontre autour du débat « La Loire et nous ». Les Indrais ayant participé à ce débat, notamment par le biais des cahiers d’acteurs, étaient invités à ce rendez-vous pour présenter leur contribution. Véronique y représentait l’ADRHI (voir notre cahier d’acteur) ; ci-après son compte rendu.

 

Objectif de la réunion : présentation d’un cahier d’acteurs élaboré par les deux communes (Indre et SH) dans le cadre du Grand Débat www.nanteslaloireetnous.fr

Les maires des deux communes et leurs assistantes, Laurent Noblet (mairie de SH), Paul Cloutour, animateur NM du Grand Débat, Olivier Bourdon, chef d’entreprise installé dans les bâtiments « Flahaut », animaient la réunion

Dans la salle, une trentaine de personnes.

1. Accueil Bertrand Affilé- maire de Saint-Herblain

Saint Herblain est concerné par 2 km de rives de Loire qui se prolongent sur Indre. Les deux communes proposent de penser globalement ces berges de Roche-Maurice jusqu’à Arcelor Mittal, dans la continuité des projets déjà entrepris comme celui de la liaison douce entre la gare et Basse-Indre (dont les travaux se poursuivent cet été).  L’ancienne voie ferrée représente également un potentiel piétonnier. Des chemins communs avec Couëron, mais cette commune ne fait pas partie de cette concertation.

Circuler paisiblement à pied ou à vélo entre les deux communes semble une préoccupation.

Conclusion de B. Affilé : « Nous sommes ici pour mettre en débat les intentions et propositions. Le Grand Débat conforte et ancre les projets afin d’avoir une vision globale des rives. » Il met une réserve avec les contraintes financières.

2. Film de 3 minutes sur le Grand Débat

Historique de Nantes et la Loire. Rappel des grandes instances et du déroulement du débat.

3. Paul Cloutour, chargé de mission Nantes Métropole pour le Grand Débat

Il anime, organise et accompagne les communes et clôturera le débat le 30 mai lors de la journée citoyenne qui concerne 500 participants sélectionnés en priorité parmi les personnes qui n’ont pas encore participé. Ce sera aussi la fin des contributions. Une commission mixte et indépendante pilote le débat et remettra son rapport au conseil communautaire. Les réponses aux préconisations seront rendues publiques fin 2015.

Pour les chiffres et l’agenda cf. le site.

la commune d’Indre a publié 7 cahiers d’acteurs sur les 63 en ligne à ce jour, ceci parce que « Indre n’est pas sur la Loire, mais dans la Loire » précise un Indrais.

4. Bertrand Affilé pose des questions :

  • Comment se réapproprier la Loire ?
  • Qu’en est-il du fleuve dans un contexte de désindustrialisation ? Nouveau regard ?
  • Quid de la ZILO (Zone Industrielle de la Loire) ?
  • Dans un contexte de mutation urbaine ?

Rappel : il existe déjà un projet intercommunal dans la zone avec la ferme photovoltaïque.

5 . Présentation du cahier d’acteurs

Les enjeux sur Saint-Herblain /Indre :

  • Valorisation du patrimoine naturel,
  • Aménagement de l’espace public à destination des habitants,
  • Création de liens entre des espaces urbains actuellement disjoints

Présentation du document-clé de ce cahier d’acteurs : une carte des rives de Loire de Roche-Maurice à Arcelor découpée en 7 sections. Les deux premières sections concernent Saint-Herblain (présentées par B. Affilé), les cinq autres Indre (présentées par S. David).

Ces propositions (sur Indre) sont inspirées en grande partie par les cahiers d’acteurs Indrais et particulièrement celui qui a été réalisé par la mairie avec le concours de citoyens.

  1. « Donner à voir la ZILO» qui a pour vocation d’être maintenue : revoir les plans de clôtures, créer des espaces de respiration, des accès au fleuve en fonction de l’activité industrielle et des besoins de quai pour le transport fluvial. Inventaire et localisation des entreprises à risques et de celles à risques secondaires.
  2. Aménagement DEVECO (Flahaut) : accueillir des activités tertiaires et artisanales, projet de revégétalisation, aménagement Loire à Vélo.
  3. Valorisation du port de Haute-Indre : Comment redonner de la vie à ce port, lieu d’habitat, de loisirs, de restauration, de festivités. Pouvoir y faire escale en bateau, à vélo, à pied, en camping-car. Un camping ? Des chemins piétonniers. Penser en fonction du PPRI (Plan de Prévention des Risques d’Inondation)
  4. Valorisation du patrimoine végétal : Zone des « Hautes Herbes », zone géographique baptisée ainsi par les enfants des écoles d’Indre lors de la réalisation de la carte imaginaire d’Indre (toujours disponible en mairie au prix de 5 euros, ndlr). Ici ou là, le service culturel de la mairie, propose « En Chemin », un chantier sur ce site. Les réalisations auront lieu du 17 au 27 juin.
  5. Aménagement mixte Habitat + DEVECO : sur des zones partiellement polluées et inondables, activités artisanales et tertiaires, logements collectifs qualitatifs, liaison Haute-Indre/Basse-Indre.
  6. Valorisation paysagère : Quais de Loire et Ile de la Motte, roselière ? agriculture ? Le maire, S. David a consulté des agriculteurs à ce sujet. Commerces de proximité.
  7. Valorisation paysagère des espaces naturels et du patrimoine : Aménagement des sentiers comme celui de la Chaussée de Robert.

6. Témoignage d’Olivier Bourdon, chef d’entreprise installé dans les bâtiments « Flahaut »

Monsieur Bourdon dirige Locaponton. Outre des pontons et autres aménagements flottants que cette entreprise installe partout en France (Bordeaux, Toulouse, Marseille, etc.), elle propose des patinoires sur l’eau, des piscines immergées, des terrasses sur l’eau, bref de quoi nous faire rêver.

7. Le débat public

Réaction du public : « Oui, très bien mais en attendant vous bouchez l’accès à la Loire ».

S’ensuit le débat sur la servitude de marchepied, les instances à consulter et une réglementation à appliquer.

Autres réactions :

  • Les berges : opportunité pour redynamiser l’emploi en créant de nouvelles activités économiques,
  • La Loire, lieu de déplacement sur les rives et sur le fleuve, boucle piétonne Gare Maritime-Trentemoult,
  • Transport en commun adapté (moins de passagers, mais plus de fréquence le week-end, par exemple), Bicloo ou autres moyens similaires pour relier Nantes aux autres communes ; certains parlent de rosalies…
  • Demande d’inventaire des zones humides, attention aux étiers,
  • Prise en compte du PPRI (Plan de Prévention des Risques d’Inondation),
  • Rappel de l’importance du patrimoine historique,
  • Certains notent le décalage entre les deux berges : construite/sauvage,
  • Importance de faire le lien avec le PLUM (Plan Local d’Urbanisme Métropolitain) pour ce qui concerne la continuité piétonne

Donc un nouveau cahier d’acteurs à consulter sur le site à la fin du mois.

www.nanteslaloireetnous.fr

 

 

TROIS MOIS D’ACTIVITES DE l’ADRHI

Le temps passe très vite et, les uns et les autres bien occupés, nous n’avons pas vraiment pris le temps de mettre à jour ce site. Mais ne croyez surtout pas, pour autant, que nous nous étions mis en sommeil. En voici pour preuve un rappel des activités de notre association depuis février, aussi bien dans le cadre du Plan Local d’Urbanisme Métropolitain (PLUM) que dans le cadre du Grand débat sur la Loire

Le 4 mars 2015, nous étions salle de l’Estuaire à Couëron, pour la première phase de l’élaboration du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD) du Plan Local d’Urbanisme Métropolitain (PLUM). Une centaine de personnes étaient présentes ainsi que le Président et le Vice-président de Nantes Métropole et les maires de Couëron, de Saint-Herblain et d’Indre.

Le 9 mars 2015, dans le cadre du Grand Débat sur la Loire, nous participions au 2e séminaire d’acteurs organisé par Nantes Métropole. Le thème était : Loire économique et Loire écologique.

Le 11 mars 2015, nous nous sommes rendus en mairie pour participer à l’enquête publique sur la réhabilitation des ouvrages électriques.
Le dossier présenté nous a paru clair, complet et intéressant ainsi que les explications du commissaire enquêteur.

Le 26 mars 2015, nous étions également à une réunion organisée en mairie, réunion au cours de laquelle ont été présentées Marie Derriennic et Caroline Floch-Brenaud, respectivement directrice des services techniques et directrice du pôle culture de la mairie d’Indre. On a parlé des subventions aux associations et des modalités de communication avec la mairie

Le 27 avril 2015, le maire et ses élus débutaient, à Haute Indre, leur dialogue itinérant. Salle Théo-Pageot, nous étions sept personnes de l’ADRHI, administrateurs et adhérents compris.
Serge David y a rappelé son tract d’avant les élections et abordé divers sujets : les projets d’urbanisme, les transports (navette, stationnements, parking de co-voiturage), le bateau “Princesse” qui circule depuis 15 jours sur La Loire, les aménagements du pont Allard et de l’île de la Motte, la mise en place d’une convention avec les agriculteurs, l’éducation de nos enfants, agir pour une commune propre, etc … Il a également répondu à nos questions.

Le 4 mai 2015 nous étions aussi présents au 4e séminaire d’acteurs du Grand Débat sur la Loire au cours duquel devait, pensions-nous, être évoqué le devenir urbanistique de Haute Indre. Quelle ne fut pas notre surprise de constater qu’il ne fut question que de la métropole ! Les deux thèmes du jour étaient : Habitat et Emploi et développement économique.

Nous restons également très vigilants concernant la construction des deux immeubles rue Jules-Bodiguel et rue Denis-Rivière et les problèmes de circulation et de stationnement qui s’en suivront.

Même chose pour les préemptions de maisons et de terrains, en cours ou réalisées, rue Emmanuel-Mocquard et rue François-Poisson